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LE CHÂTEAU D’ÉCOUEN : DU CONNÉTABLE AU MUSÉE NATIONAL DE LA RENAISSANCE

Dernière mise à jour : 21 mars

ecouen
Château d'Ecouen - Façade Ouest

Direction le château d’Écouen, dans le Val d’Oise (95), à 20km au nord de Paris. Au-delà de sa riche histoire et de son architecture, il abrite le passionnant musée national de la Renaissance.


Pour y venir, deux options : la voiture ou le train. Pour ma part, j’opte pour la seconde option qui offre une expérience de visite unique : depuis la gare, le chemin qui mène au château nous conduit à travers la forêt jusqu’à la grille du domaine, puis, après quelques minutes de plus à travers les allées arborées, on se retrouve, à l’orée du bois, face à la silhouette majestueuse du château - côté Ouest.



Je vous invite à explorer ses près de cinq siècles d’histoire, et à découvrir quelques-uns des trésors conservés dans ses collections.

500 ANS D’HISTOIRE AU CHÂTEAU DÉCOUEN


Le château d’Ecouen est bâti en pleine Renaissance, entre 1538 et 1555, pour le puissant connétable (chef des armées royales) Anne de Montmorency (1493-1567), issu d’une des plus anciennes familles de la noblesse française (il doit son nom à sa marraine, la reine Anne de Bretagne). Parmi les architectes et artistes participant à sa construction : Jean Bullant, Jean Goujon ou encore Nicolo Dell’Abbate et Masséot Abaquesne.



Aujourd’hui, et depuis 1977, il accueille le riche et passionnant musée national de la Renaissance, dont les collections exceptionnelles de peintures, sculptures, objets d’art, mobilier, armes et armures... racontent les arts décoratifs du 15e au 17e siècle. Un incontournable pour les amoureux de cette période faste de note Histoire, mais aussi pour les amateurs d’art et de patrimoine.


LE CHÂTEAU D’ÉCOUEN : DES MONTMORENCY AUX BOURBON-CONDÉ


Compagnon d’enfance, de guerre et Grand Maître de France de François 1er (r.1515-47) auprès de qui il a grandi - il participe activement aux campagnes d’Italie et à la victoire de Marignan le 14 septembre 1515 - Anne sera aussi très proche de son fils et successeur, Henri II (r.1547-1559) et de la reine Catherine de Médicis (1519-89). Écouen accueillera d’ailleurs régulièrement la cour de France.



Le connétable marquera ainsi son époque par son influence politique, mais aussi par ses actions de mécénat artistique, offrant, à Écouen comme à Chantilly, deux de ses 130 résidences, un témoignage éclatant du goût, de l'architecture et de l'art de la Renaissance qu’il a rapporté d’Italie.


LE CHÂTEAU D’ÉCOUEN : UNE RÉSIDENCE ET DE HAUTES AMBITIONS


C’est sur les terres de sa riche famille, les Bouchard de Montmorency, qui servent la couronne de France depuis l’an Mil, et en lieu et place d’un édifice médiéval, que le Connétable du roi, Anne de Montmorency décide, en 1538, de bâtir un château digne de son rang.


Ce grand collectionneur d’art et fin admirateur de la Renaissance italienne désire faire de sa résidence un lieu dont la grandeur architecturale, les décors et les aménagements sauront refléter sa puissance et sa fortune : vitraux, pavements, lambris, décors peints et sculptés… Les travaux se terminent en 1555 après 18 ans de chantiers et d’évolutions.


UNE ARCHITECTURE PRESTIGIEUSE


Pour créer sa nouvelle demeure, Anne de Montmorency fait appel aux meilleurs artistes et artisans de son temps, notamment à ceux qui ont travaillé à l’agrandissement et l’embellissement du château royal de Fontainebleau : Jean Goujon, Jean Bullant, Nicolo Dell’Abbate, Bernard Palissy…



Au départ, le château entend cependant répondre aux codes de la Renaissance tout en gardant ceux des forteresses défensives : dominant la plaine de France, il est entouré de douves sèches, fermé d’un pont-levis, et réalisé dans un style plutôt sobre, voire austère, avec des façades aux décors réduits.



La façade Ouest conserve cette allure plus rigoureuse. Seules les lucarnes sont ornées de décors, notamment des armes d’Anne de Montmorency – une croix de gueules (rouge) avec, sur fond or, seize alérions d’azur (aigles sans pattes ni bec), le tout surmonté d’une couronne de baron et entouré du collier de l’ordre de Saint-Michel. On y lit aussi sa devise en latin : « Aplanos », soit « tout droit » ou « sans dévier ».



Cependant, les goûts évoluant très vite, et afin de ne pas être démodé, Anne fait rapidement appel à l’architecte Jean Bullant (1515-1578) pour doter Écouen de décors plus raffinés et à l’antique, directement inspirés de l’architecture italienne.


Parmi ses premières réalisations, en 1552 : l’aile Nord, dite aile du Roi, puisqu’elle doit accueillir les appartements du nouveau souverain Henri II et de la reine Catherine de Médicis. On y crée des pilastres décoratifs et un fronton à l’antique ; on y sculpte des crânes de bœuf et des patènes (disques) évoquant les animaux et les ustensiles utilisés lors des sacrifices de l’Antiquité et que l’on retrouve gravés sur les temples romains ; et on y intègre les symboles d’Henri II (les croissants de lune) et de Catherine de Médicis (le double K latin ou l’arc-en-ciel).



Sur la façade de cette même aile, côté cour intérieure, des colonnes et un arc de triomphe sont élevés, des niches sont créées pour présenter les statues du Connétable, et les emblèmes royaux sont également sculptés, dont les fleurs de lys. Les décors des lucarnes seraient, quant à eux, signé du sculpteur Jean Goujon.



Jean Bullant s’attaque ensuite à l’aile Sud, dite aile du Connétable puisqu’elle accueille ses appartements et ceux de son épouse Madeleine de Savoie (1510-1586), cousine de François 1er. Si les matériaux – ardoise, pierre, brique – rappellent ceux du Moyen-Âge, les grandes fenêtres et la symétrie des éléments (pilastres et décors) s’inscrivent clairement dans le goût Renaissance. A noter, les deux fenêtres rapprochées au centre de la façade qui indiquent l’emplacement d’un escalier. A l’angle de droite, est créée la magnifique chapelle du château dont on aperçoit le vitrail.



Mais c’est surtout côté cour que cette aile impose sa richesse décorative. Portique, colonnes, lucarnes sculptées, armoiries du Connétable et de son épouse… on remarque surtout les deux niches conçues pour accueillir deux œuvres majeures de la Renaissance italienne : « Les Esclaves » de Michel-Ange. Réalisées entre 1513-1515 par Michelangelo Buonarroti, dit Michel-Ange (1475-1564) pour le tombeau du pape Jules II à Rome, ces deux statues en marbre blanc de Carrare seront finalement données par l’artiste à son ami Roberto Strozzi. Ce dernier, exilé en France, les offrira à François 1er en 1546, avant qu’Henri II n’en fasse don à Anne de Montmorency qui les fera donc installer à Écouen. Aujourd’hui, le château présente deux copies de ses sculptures de 2,09 mètres qui sont désormais conservées au Louvre.



Enfin, l’aile Est était bien différente de celle par laquelle on entre aujourd’hui. Avant sa destruction par la famille de Condé en 1787 pour dégager la vue vers la plaine de France, on trouvait ici un bâtiment à trois niveaux, ouvert d’un portail monumental. Plus tard en 1807, sous le règne de Napoléon 1er, l’architecte Peyre élèvera l’entrée actuelle.



DES DÉCORS RAFFINÉS


Anne de Montmorency, en collectionneur et mécène éclairé, érige le château d'Écouen pour sa femme, Madeleine de Savoie, et le fait embellir pour accueillir le roi Henri II. Le décor intérieur du château est ainsi particulièrement somptueux, marqué par une riche combinaison de matériaux et de couleurs reflétant les goûts les plus raffinés de l’époque.


MATÉRIAUX ET COULEURS

Les sols en faïence, les vitraux, les tapisseries et les objets précieux créent un environnement chatoyant. La galerie de Psyché, par exemple, dans l’aile du Roi, est sublime, avec ses vitraux en grisaille (déplacés au 19e siècle par le duc d’Aumale au château de Chantilly où ils sont encore exposés) et ses pavements de faïence décorés de guirlandes de fruits.



CHEMINÉES PEINTES

Les douze cheminées peintes du château sont uniques en France. Ornées de paysages maniéristes et de scènes inspirées de l'Ancien Testament, elles sont encadrées de motifs typiques de la Renaissance – putti, guirlandes, bestiaire fantastique, satyres.... À elles seules elles peuvent justifier la visite du château d’Écouen.



ORNEMENTATIONS

Les décors intègrent des emblèmes et armoiries rappelant la puissance et le prestige d'Anne de Montmorency, ainsi que des frises peintes à décor de grotesques (caractères étranges, entrelacs, feuillages, animaux…) et des motifs antiques.



SCULPTURES ET PEINTURES

Le château d’Écouen abritait une collection de bustes romains et des œuvres de grands artistes comme Niccolo dell'Abbate et Le Rosso, et même une copie exceptionnelle de « La Cène » de Léonard de Vinci par Marco d’Oggiano présentée dans la chapelle.



LES APPARTEMENTS

Les appartements royaux (aile Nord) et ceux du connétable et de son épouse (aile Sud) sont disposés symétriquement dans les ailes latérales, reliés par une galerie. Les escaliers droits d'apparat, comme les escaliers à vis des angles, sont ornés de sculptures raffinées - coquilles, cartouches…


LA CHAPELLE

La chapelle, bien que dépouillée de beaucoup de ses ornements depuis la Révolution, reste l’un des joyaux du château. Son autel signé Jean Goujon est aujourd’hui dans la chapelle du château de Chantilly , tout comme ses lambris et vitraux. Elle conserve cependant une magnifique voûte à croisées d'ogives décorée des armoiries d’Anne de Montmorency et de Madeleine de Savoie, et de la devise du Connétable « Aplanos ». On y aperçoit également l’emblème de François 1er, la salamandre, et les trois croissants de lune entrelacés d’Henri II.




Les niches aux quatre coins de la chapelle accueillent les statues des Pères de l’Évangile, tandis que derrière l’autel, le remarquable retable en émail peint en 1556 qui illustre la Passion du Christ témoigne de ce que pouvaient être ici les décors du temps d’Anne de Montmorency.



1696 : LES BOURBON-CONDÉ PRENNENT POSSESSION D’ÉCOUEN


Au 17e siècle, le château d’Écouen change de propriétaires. Nous sommes en 1632, lorsqu’Henri II de Montmorency, petit-fils d’Anne, se révolte contre le pouvoir du roi Louis XIII. La réponse du monarque à cette trahison ne se fait pas attendre : il fait décapiter Henri II de Montmorency à Toulouse et réquisitionne ses propriétés, dont Écouen et Chantilly.



Quelques mois plus tard, le château d’Écouen est cependant rendu à sa sœur Charlotte d’Angoulême. Tout semble revenu dans l’ordre, jusqu’en 1696, date à laquelle la petite-fille de Charlotte, la duchesse de Joyeuse, meurt sans descendance et met fin à la dynastie directe des Montmorency.


Le château d’Écouen est alors légué à leur branche cousine des Bourbon-Condé qui en restent propriétaires jusqu’à la Révolution. Parmi les transformations qu’ils apportent au domaine : la création d’une esplanade et de parterres à l’arrière du château sous la supervision de Jules Hardouin-Mansart, puis la destruction, en 1787, de l’aile Est afin d’ouvrir l’édifice sur la campagne environnante.



DU CHÂTEAU À LA MAISON D’ÉDUCATION DE LA LÉGION D’HONNEUR


Pendant la Révolution, le château d’Écouen est réquisitionné et nationalisé, et devient tour à tour un club patriotique, une prison militaire puis un hôpital.


Il faut attendre le Premier Empire (1804-1815) pour que Napoléon 1er décide, en 1805, de transformer le château en maison d’éducation pour jeunes filles de la Légion d’Honneur. En 1807, alors que l’aile Est est reconstruite pour servir d’entrée, et éviter que les jeunes filles ne puissent sortir librement, la maison d’éducation ouvre ses portes sous l’intendance de Madame Campan, l’ex gouvernante des enfants de Louis XVI et Marie-Antoinette.



Le domaine est alors clos d’une enceinte, et en 1810, Eugène de Beauharnais, fils de l’ex-impératrice Joséphine, offre à sa sœur Hortense une fontaine construite au milieu des bois. Elle est dans son jus, mais au détour des chemins dans la forêt qui mène au château, on peut toujours la voir aujourd’hui.



Après un retour à la famille de Condé pendant la Restauration (1815-1830) et sous la monarchie de Juillet (1830-48), Écouen, alors quasiment laissé à l’abandon, retrouve sa fonction de maison d’éducation en 1850 et sous le Second Empire (1852-70), une fonction qu’il occupera jusqu’en 1962.

1977 : LE CHÂTEAU D’ÉCOUEN DEVIENT LE MUSÉE NATIONAL DE LA RENAISSANCE


C’est en 1962 qu’on décide de fermer la maison d’éducation de la Légion d’Honneur d’Écouen pour faire du château un musée : ce sera le musée national de la Renaissance inauguré en 1977.


Aujourd’hui, les murs du château d’Écouen accueillent toujours ses collections : armes et armures, mobilier et boiseries, tapisseries et cuirs peints, pavements et céramiques, orfèvrerie et horlogerie, cassoni (coffres de mariage), vitraux, peintures, sculptures…au gré des appartements on découvre une riche collection d’œuvres et d’objets provenant de l’aile Est du château, détruite par les Condé en 1787, mais aussi et surtout des collections issues du musée de Cluny à Paris.


RETOUR SUR QUELQUES TRÉSORS DU MUSÉE NATIONAL DE LA RENAISSANCE


Au gré des appartements d’Anne de Montmorency et de Madeleine de Savoie, ou encore du roi et de la reine, le musée national de la Renaissance du château d’Écouen s’articule principalement entre la Renaissance italienne (14e-16e siècles), la première (1480-1530) et deuxième (à partir de 1540) Renaissance française, .


ARMES ET ARMURES


Après la magnifique chapelle, la visite débute par la fascinante salle des Armes. Armures, épées, boucliers… On y observe des pièces magnifiquement ouvragées, témoignant de l'art de la guerre à la Renaissance.

Parmi les pièces qui m’ont marqué :



  • L’armure dite de Maximilien (vers 1515-1520) : Typique des armures germaniques du 16e siècle, elle aurait appartenu à l’empereur du Saint Empire Romain Germanique Maximilien 1er.



  • Les étriers d’apparat de François 1er (vers 1515-1525) : Ornés de salamandre couronnées et des chiffres du roi, ces étriers étaient présents lors des campagnes d’Italie du souverain.


MOBILIER ET BOISERIES


Tout au long du parcours, nombreux sont les meubles raffinés et les boiseries sculptées exposées et qui ornaient autrefois les demeures aristocratiques.


Parmi mes coups de cœur :

  • La partie centrale d’un cabinet vénitien (vers 1580) en bois, nacre, bronze, ivoire et peinture.



  • Le cabinet aux armes d’Alexandre Farnèse par Flaminio Boulanger (1578-1579) en noyer.



  • Le lit du duc Antoine de Lorraine et de Renée de Bourbon (vers 1515) : exécuté pour le mariage du duc Antoine de Bourbon et de Renée Bourbon-Montpensier, il porte els armes et devises des époux.



TAPISSERIES ET CUIRS PEINTS


Le musée est riche d’œuvres d'art textiles, dont :


  • La célèbre tapisserie de David et Bethsabée, qui orne la galerie de Psyché.



  • La tapisserie de la « Naissance de Diane et d’Apollon » extraite de la tenture de « l’Histoire de Diane » (vers 1550) destinée à la galerie du château de Diane de Poitiers à Anet.


  • La tapisserie « Henri IV sous les traits d’Apollon ».


Le Musée National de la Renaissance d'Écouen abrite aussi l'une des collections les plus remarquables de cuirs peints. Souvent méconnus aujourd’hui, et moins onéreux que les tapisseries, ils ornaient les murs des demeures aristocratiques et bourgeoises des 16e et 17e siècles. Ces œuvres, à la fois décoratives et narratives, témoignent d'un savoir-faire artisanal exceptionnel. En pratique, les cuirs étaient plutôt installés sur les murs l’été, en alternance avec les tapisseries l’hiver.


Parmi les cuirs peints d’Écouen, on peut admirer la tenture de « L’Histoire de Scipion ». Réalisée au début du 17e siècle et inspirée des gravures d'Antonio Tempesta (1555-1630), elle illustre les hauts faits du général romain Scipion.



CÉRAMIQUES, VITRAUX ET PAVEMENTS


Le musée d’Écouen est également réputé pour ses objets en faïence, ses majoliques italiennes et sa collection de vitraux en grisaille, mais aussi de pavements, parmi lesquels ceux qui ornaient autrefois les sols de l’ail Est du château, détruite par la famille Condé en 1787. Toutes ces œuvres illustrent la maîtrise des savoir-faire artisanaux à la Renaissance.



ORFÈVRERIE ET HORLOGERIE


Parmi les sections qui m’ont particulièrement émerveillé lors de ma visite: les salles réservées aux collections d’objets d’orfèvrerie et d’horlogerie des plus délicats.



On peut admirer des pièces d'une virtuosité stupéfiante, qui témoignent du savoir-faire des orfèvres et des horlogers de la Renaissance, parmi lesquelles :


  • « Daphné » (Wenzel Jamnitzer, Nuremberg, vers 1570) : c’est l’un des joyaux du musée. Cette Daphné en pleine métamorphose, faite d’argent fondu, ciselé et doré, et de corail, est magnifique. Sachez qu’il s’agit en fait d’une coupe (Daphné peut s’ouvrir et la partie basse sert de verre).



  • « La Nef dite de Charles Quint » (Augsbourg, vers 1580) : au-delà de la beauté de ses détails, cette nef est remarquable par sa technique. C’est en fait une horloge automate en laiton doré et en fer qui s’anime : à heure fixe, sur le pont, l’empereur germanique (Charles Quint ?) est salué par les grands électeurs, et l’on joue du tambour, tandis que le bateau avance et que les canons s’activent. Un chef-d’œuvre qui, lui-aussi, justifie amplement le déplacement à Écouen.



PEINTURES ET SCULPTURES


Les œuvres picturales et sculpturales sont nombreuses dans les salles du musée, et signées des grands maitres de la Renaissance.



On trouve aussi une très belle collection de cassoni, ces coffres de mariage offerts en Toscane puis dans toute l’Italie à la fin du 14e siècle. Peints avec raffinement, ils présentent une iconographie liée au contexte nuptial et à la morale, avec notamment de nombreuses figures vertueuses de l’Antiquité.



MON AVIS


À quelques minutes de Paris (15 minutes de gare du Nord puis 20 minutes de marche à travers bois depuis la gare d’Écouen-Ézanville), le château d’Écouen et son musée sont une très belle découverte ! J’ai aimé y venir… et y revenir, tant ses collections sont riches.


Mon coup de cœur : les magnifiques cheminées peintes qui habillent de nombreuses pièces.


INFORMATIONS PRATIQUES


  • Quoi ? Le musée national de la Renaissance

  • Où ? Château d’Écouen

  • Quand ? Tous les jours sauf le mardi, le 1er janvier et le 25 décembre.

    De 9h30 à 12h45 et 14h00 à 17h15

    (jusqu'à 17h45 du 16 avril au 30 septembre)

  • Combien ? Plein tarif : 5.00€
/ Tarif réduit : 3.50€

    Gratuit pour tous, le premier dimanche de chaque mois

    Toutes les informations sur le site du château d’Écouen.


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